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Les artistes de Street Art ne sont pas que de simples artistes. Chacun d’eux, comme tous les artistes sont attirés par leur passion mais aussi quelque chose de plus grand en l’occurrence un but qu’ils véhiculent à travers leurs œuvres ou qu’ils démontrent par rapport à leurs prises de positions dans les sujets controversés du monde.

 

Ce but peut évoluer ou non selon l’artiste le représentant mais quoiqu’il en soit, ce qui nous intéresse ici est la Climate week qui s’est tenu en Septembre 2016. Cet évènement, outre ses motivations principales, a développé dans le milieu du Street art un engouement considérable qui s’est mué dans le parc WNYC Transmitter de Brooklyn à travers les deux artistes composant le groupe FAILE (Patrick McNeil et Patrick Miller) en un mur géant peint.

 

Cet œuvre porte le nom de « Love me, Love me not » et souhaite imposer une véritable remise en cause suite aux nombreuses divisions concernant la question de l’environnement. « Aimons-nous la nature ? » ; « La traitons-nous bien ? » ces questions fondamentales sont nécessaires dans l’objectif d’harmoniser les visions mais surtout pour démontrer l’importance d’une telle réflexion.

 

De plus, nous pouvons analyser cette œuvre d’une manière assez singulière en démontrant les différentes appartenances à la nature comme cette grenouille qui a plusieurs symboles. En effet, elle représente la guérison mais aussi la métamorphose et la fertilité. Les nombreuses fleurs et l’herbe dans laquelle la femme peinte s’allonge n’en sont que des exemples supplémentaires pour accentuer cette image de nature qui nous entoure déjà assez.

 

Finalement, si vous passez dans le quartier de Greenpoint, prenez le temps de vous arrêter devant cette fresque murale conviant les nombreux supports d’artistes du Street art.

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